Almamy Ibrahima Barry, banquier et économiste guinéen de 65 ans, s'est déclaré lundi à Abidjan, candidat "indépendant" à l'élection présidentielle du 27 juin dans son pays, afin de "mettre fin à l'ethnocentrisme".
"J'ai vécu 35 ans à Abidjan, c'est un clin d'oeil et un geste de reconnaissance à la population ivoirienne", a affirmé M. Barry, lors d'une conférence de presse, pour justifier l'annonce de sa candidature depuis la capitale économique ivoirienne.
REPRESENTATION DE LA COMMUNAUTE GUINEENNE EN ITALIE
COMITE DE DROIT DE VOTE DES GUINEENS EN ITALIE
Via Cesare Laurenti no. 19 cap. 00122
Rome -Italie
LETTRE OUVERTE
A son excellence Mme Hadja Rabiatou Serah Diallo
Présidente du Conseil National de la Transition
République de Guinée
Rome, 21/03/2010
Excellence Mme,
"Ici, pour avoir l'eau, il faut chercher. Nous sommes comme au désert!", lance Jeannine, une mère de famille exaspérée par les coupures d'eau longues et récurrentes à Libreville, alors que son pays, le Gabon, a un important réseau hydrographique.
"Des fois, nous, on fait deux semaines, un mois sans eau!", explique Jeannine Bibila, lavant un immense tas de linge posé devant une fontaine publique à Kinguélé (nord-est de Libreville).
Le président français Nicolas Sarkozy s'apprêtait lundi à remanier son gouvernement au lendemain d'une très sévère défaite de la droite aux élections régionales, en ajustant sa stratégie sans remettre en cause le cap des réformes, selon ses proches.
Le premier ministre François Fillon s'est entretenu dans la matinée avec le président pour «faire le point» sur les conséquences de ces dernières élections intermédiaires avant la présidentielle de 2012.
Pas de mariage entre Blancs et Noirs. Pas de cohabitation. Pas de rapports sexuels non plus. Ces règles de l'apartheid sud-africain, décriées sur toute la planète, ont disparu il y a 20 ans. Malgré tout, dans la nouvelle Afrique du Sud, les familles multiraciales restent l'exception à la règle, raconte notre envoyée spéciale.
La Chambre des représentants dominée par les démocrates a approuvé dimanche soir la réforme de la couverture santé défendue par Barack Obama.
Le texte a été approuvé par 219 voix pour, 212 contre. Les élus républicains ont tous voté contre le texte, qui devrait être signé dès mardi par le président. "Nous pouvons encore lancer de grands projets" a réagi le chef de la Maison Blanche.
Un texte complémentaire modifiant le premier a été soumis au vote, et adopté, dans la foulée. Il doit définir la mouture finale en coordination avec le Sénat.
À l'occasion du 40e anniversaire samedi de leur organisation internationale, les francophones gardent le moral: la langue française, dite souvent en déclin, ne se porte pas si mal mais elle le doit principalement à l'essor démographique africain.
S’adressant à ses compatriotes émigrés au Sénégal, dans un stade de Dakar, le chef de la transition guinéenne a fait remarquer que les dirigeants africains sont condamnés à « s’adapter au commun vouloir de leurs peuples de vivre en toute liberté et en toute démocratie ».
Le président sénégalais Abdoulaye Wade, 83 ans actuellement, a déclaré qu'il avait bon espoir que ses compatriotes lui confient un troisième mandat en 2012, estimant que son âge n'y fait nullement obstacle.
Nicolas Sarkozy a défendu samedi la francophonie comme rempart contre le "monolinguisme" et la "monoculture" et plaidé pour qu'elle porte des "combats politiques", lors d'un discours à l'occasion des 40 ans de l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF).