Des points d’implantation des barrages routiers de contrôle identifiés
Sep 03, 2011
Des points d’implantation des barrages routiers de contrôle identifiés. C’est un communiqué lu par le porte-parole de l’état-major général des armées, le commandant Aliou Diakité qui vient de l’indiquer.
Dans ce document, 26 points d’implantation de barrages routiers de contrôle sont identifiés et rappel est fait aux agents que «ces opérations de contrôle doivent se faire dans le strict respect de la dignité du citoyen ainsi que la libre circulation des biens et des personnes.» Le chef d’état-major général intime aux hommes en uniforme de «s’adresser aux usagers dans la plus grande courtoisie avec respect et déférence.»
Voici le contenu de ce document qui définit également la mission dévolue à chaque corps:
«Dans le souci de soulager les populations et sécuriser la ville de Conakry conformément aux instructions données par le chef d’état-major général des armées au chef d’état-major de la gendarmerie nationale et au directeur général des services de police, pour identifier les sites appropriés pour l’installation des barrages, les points suivants ont été retenus pour le contrôle nocturne. Ce sont :
- Axe autoroute
1- Rond-point "8 novembre"
2- Rond-point Aéroport - camp Alpha Yaya
3- Carrefour Yimbaya - Tannerie
4- Carrefour Matoto
5- Carrefour ENTAG
6- Carrefour Lansanaya
7- Carrefour Km 36
- Axe Donka – Dixinn - Ratoma
8- Carrefour Stade du "28 septembre"
9- Carrefour Belle-vue
10- Carrefour Taouya
11- Carrefour Kakimbo
12- Carrefour Kipé
13- Rond-point Kaporo
14- Carrefour Lambanyi
15 – Carrefour Foula Madina
- Axe Route "Niger"
16- Rond-point Moussodougou
17- Carrefour Madina marché
18 – Carrefour Constantin
- Axe Route "Le prince"
19 – Rond-point Bambéto
20- Rond-point "Coza"
21- Rond-point Enco 5
22- Rond-point T 6
23- Carrefour Sonfonia gare
24- Carrefour Cimenterie
25- Carrefour Kagbélén
- Axe T 1
26- Carrefour Dabondy-rails
Les gendarmes et les policiers sont chargés de la fouille des véhicules pour la recherche des armes, munitions et produits prohibés. Les militaires assureront la sécurité des hommes au niveau des barrages.
La patrouille dans les Communes et quartiers sera effectuée par les unités de gendarmerie, le bataillon autonome des troupes aéroportées et la police.
Le Chef d’état-major général des armées instruit à ce que toutes les dispositions soient prises par les différents chefs d’état-major des armées - terre, mer, air et gendarmerie nationale - ainsi que le directeur général de la police pour que la sécurisation de Conakry soit effective et que la population soit soulagée.
Le Chef d’état-major général des armées tient à rappeler que ces opérations de contrôle doivent se faire dans le strict respect de la dignité du citoyen ainsi que la libre circulation des biens et des personnes. Les agents doivent s’adresser aux usagers dans la plus grande courtoisie avec respect et déférence.
Conakry, le 1er septembre 2011
Le chef d’état-major général des armées
Général de brigade Souleymane Kèlèfa Diallo»
AfricaLog.com
DIABY (not verified)
posted Sep 04, 2011
est ce c comme cela la vie dans un pays qu'on qualifie à tort un pays démocratique de quoi le président de la republique a t'il peur qu'est ce qu'il fait pour mettre toute l'armé en allerte au lieu de s'atteller à l'amélioration des conditions de vie de la population on contraint cette dernière à se cloitrer chez elle connaissant cette bande de drogués qui n'ont aucun respect envers leur chef à plusfort raison un civil .
bientot les raffles vont commencer pour amener les jeunes dans les champs de mais (kabè) pour l'ETAT c 'est à dire c'est un mini état de siège qui se met en place bjour donc à l'anarchie
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