La France a fait son devoir pour la démocratie et pour la paix en Côte d'Ivoire à la demande des Nations unies
Je ne me rappelle pas avoir donné un mandat à quiconque pour un bombardement aérien sur la Côte d'Ivoire
(L'entrée en action des troupes françaises en Côte d'Ivoire a été) expressément sollicitée par le secrétaire général de l'Onu Ban Ki-moon, conformément à la résolution 1975 de son Conseil de sécurité
(L'entrée en action des troupes françaises en Côte d'Ivoire a été) expressément sollicitée par le secrétaire général de l'Onu Ban Ki-moon, conformément à la résolution 1975 de son Conseil de sécurité
On peut imaginer que Gbagbo a encore des prétentions. Ce que nous avons demandé, c'est que sa sécurité personnelle, son intégrité physique, soient garanties
Si on veut compter sur les frappes aériennes faites avec des armées étrangères dans nos pays pour être président, évidemment on ira nulle part
Il est difficile d'établir ceux qui sont morts lors des affrontements ou après les affrontements. C’est donc trop tôt pour établir une responsabilité des Forces républicaines. Il y a eu des combats, il y a eu des morts
Je confirme qu'il y a eu des massacres de centaines de personnes à Duékoué (…) Les exactions continuent
Le président Gbagbo se porte bien, il a le moral haut (…) Il a toujours tendu la main, il est dans cet état d'esprit. Aujourd'hui, j'ai échangé avec lui au téléphone
Il y a déjà plusieurs généraux qui ont rallié. J'ai échangé avec plusieurs généraux qui sont d'accord. Et dans les heures qui suivent, ils feront des déclarations publiques (…) Il faut que Gbagbo se rende maintenant (…) nous l'avons repéré, nous le suivons de minute en minute