
À neuf mois de la présidentielle, un projet de révision constitutionnelle en Zambie, accusé de favoriser le président Hakainde Hichilema, suscite la contestation.
Vendredi 28 novembre, une marche interdite par la police à Lusaka s’est transformée en rassemblement de prière, avec environ 300 participants, dont citoyens, religieux et opposition.
Les critiques dénoncent aussi l’introduction rapide de la représentation proportionnelle et le retour d’amendements déjà rejetés, tandis que les autorités appellent à rester chez soi.