
L’Assemblée nationale sud-africaine crée un comité chargé de superviser les finances de la présidence, conformément aux recommandations de la commission Zondo contre la corruption.
Composé de 11 membres issus du gouvernement et de l’opposition, le comité pourra examiner le budget présidentiel et interroger le président ou le vice-président au moins une fois par an.
Cette mesure vise à renforcer la transparence, éviter la concentration des pouvoirs et prévenir de futurs scandales liés à la capture de l’État.