L'ancien chef de guerre Ibrahim Coulibaly, dit "IB", s'est dit prêt samedi à déposer les armes, comme le lui a ordonné la veille le président ivoirien Alassane Ouattara, mais il prévenu que cela prendrait du temps à organiser.
Les hommes du "commando invisible", qui ont infligé ces dernières semaines des revers militaires aux partisans de Laurent Gbagbo à Abidjan, sont ouvertement hostiles au maintien au pouvoir du président ivoirien sortant.
Mais sont-ils pour autant des partisans de son rival Alassane Ouattara, reconnu par la communauté internationale comme le président légitime de la Côte d’Ivoire à l’issue de la présidentielle du 28 novembre dernier ?