Selon un hebdomadaire de la place, la publication de la première liste des présumés débiteurs de l’Etat la semaine dernière alimente les débats. 42 personnes physiques et morales sont accusées et devront s’expliquer dans un bref délai. Mais ce sont les créances issues du fonds de contrepartie des dons japonais, chinois et Koweïtiens qui semblent faire l’ire des accusés et qui alimentent les débats.