La mort du chef rebelle touareg Ibrahim Ag Bahanga représente pour certains une "chance pour la paix" dans le nord du Mali mais d'autres s'inquiètent de la saisie d'armes par des proches de cet irréductible combattant en Libye.
Ibrahim Ag Bahanga était présenté par les observateurs comme un chef rebelle ayant toujours voulu évoluer en marge du processus de paix initié dans le nord du Mali avec les accords d'Alger signés en juillet 2006 entre Bamako et des groupes touaregs maliens.