Par Aissatou Barry, Néné Aye
Mon frère, mon ami et mon compagnon de lutte syndicale, toi que j’appelais affectueusement mon général, j’écris ce texte pour les vivants, puisque tu dors déjà, paisiblement, jusqu'au grand jour de Dieu qui dans sa mémoire infaillible réclamera les morts des tombes, des eaux, des feux… Il a le pouvoir de résurrection.