Vladimir Poutine reste l'homme le plus puissant du monde selon un classement publié mercredi par le magazine Forbes, qui a placé le président russe en tête pour la troisième année d'affilée.
Il est suivi par la chancelière allemande Angela Merkel, qui gagne trois places, puis par le président américain Barack Obama, qui en perd une.
Pour Forbes, Vladimir Poutine «continue à prouver qu'il est l'une des rares personnes dans le monde qui puisse se permettre de faire ce qu'il veut».
Ben Carson est aussi discret que Donald Trump est extravagant, et pourtant le chirurgien à la retraite l'a rattrapé en tête des sondages pour les primaires présidentielles républicaines aux États-Unis. Un autre outsider en haut de la vague anti-establishment.
Benjamin Carson, 64 ans, est le seul Afro-Américain de la course, et comme le milliardaire Donald Trump, il n'a jamais exercé de mandat politique.
Une semaine après avoir rencontré Sidya Touré le candidat et président du parti UFR (Union des Forces Républicaines), le président guinéen continue de rencontrer ses adversaires de la présidentielle du 11 octobre 2015.
Lundi, c'était au tour des candidats malheureux Marie Madeleine Dioubaté du parti des écologistes guinéens 'PEG'' et de Georges Ghandi Tounkara du parti Union Guinéenne pour la Démocratie et le Développement ''UGDD'' d'être réçu au palais Sekhoutoureya.
Trois jours après la proclamation des résultats définitifs de la présidentielle du 11 octobre 2015 par la Cour Constitutionnelle, Faya Millimono le candidat et président du parti Bloc Libéral ''BL'', a animé ce mardi un point de presse dans la capitale Conakry.
Michelle Obama, en visite au Qatar, a lancé mercredi un vibrant appel à l'abolition des lois et des traditions dépassées qui empêchent selon elle des millions de filles d'achever leur parcours scolaire à travers le monde.
Dans un discours passionné devant les délégués du World Innovation Summit for Education (WISE) à Doha, la première dame des Etats-Unis a dit qu'une discussion franche est nécessaire à travers le monde sur la manière dont les femmes sont traitées et, en particulier, sur les obstacles qui se dressent devant les filles à l'école.
L'homme politique irakien Ahmed Chalabi, qui a joué un rôle-clé pour convaincre les États-Unis d'envahir son pays en 2003 en fournissant de fausses informations sur les supposées armes de destruction massive, est décédé mardi à Bagdad.
M. Chalabi est «mort d'une crise cardiaque» à l'âge de 71 ans, a annoncé le premier ministre Haider al-Abadi. «Il a consacré sa vie à s'opposer à la dictature et a joué un rôle crucial pour établir la démocratie en Irak», a-t-il ajouté.
Le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a appelé mardi l'OTAN à agir pour la reconstruction de la Libye, en proie à la violence depuis le renversement du régime de Mouammar Kadhafi par une insurrection soutenue par l'OTAN.
M. Sissi était interviewé par le journal britannique Daily Telegraph à l'occasion de sa visite à Londres, lors de laquelle il doit évoquer des questions de coopération en matière de sécurité avec le premier ministre britannique David Cameron.
Le général américain Donald Bolduc, qui commande les opérations spéciales américaines en Afrique, a loué lundi à Washington les progrès faits par les forces africaines dans la lutte contre les groupes extrémistes.
«Leurs capacités et leur efficacité ont augmenté» et elles se «professionnalisent», a déclaré le général lors d'une conférence à Washington.
La rencontre entre le président Alpha Condé et le vice président du parti UFDG Bah Oury samedi à Paris en France, alimente le débat en Guinée. De retour du sommet Inde-Afrique, Alpha Condé a eu un tête à tête avec l'un de ses plus farouches opposants, Bah Oury, vice président du parti Union des Forces Démocratiques de Guinée (UFDG) en exil politique depuis 2011.
Le représentant du secrétaire général de l'ONU pour l'Afrique de l'Ouest, Mohamed Ibn Chambas, a exhorté lundi à Dakar le président réélu Alpha Condé à former un gouvernement de large consensus en Guinée pour y favoriser la stabilité.
La Cour constitutionnelle a proclamé samedi Alpha Condé vainqueur dès le premier tour de la présidentielle du 11 octobre, avec 57,84 % des voix, confirmant les résultats annoncés deux semaines auparavant par la Commission électorale mais contestés par les sept autres candidats.