La star de l'équipe de France de football, Kylian Mbappé, est arrivé au Cameroun pour une série d'événements caritatifs ainsi qu'une visite à Djebalé, village dont son père est originaire.
"Il n'y aura pas d'élection dans ce pays, ou alors ce sera dans un chaos indescriptible si par des combines judiciaires le président Macky Sall voulait empêcher ma candidature", a prévenu Ousmane Sonko, le leader du Pastef.
Le président sénégalais Macky Sall a annoncé lundi qu’il ne sera pas candidat à un troisième mandat lors de la présidentielle de février 2024, au moment où le Sénégal connaît de fortes tensions.
Haïti fait face à une véritable crise humanitaire, politique et sécuritaire, avec des gangs qui contrôlent une majorité du territoire de la capitale, terrorisant la population en multipliant assassinats, enlèvements et viols.
Quarante ans après son titre, Yannick Noah était de retour en vedette sur le Central de Roland-Garros où il a donné un concert à la veille du début du tournoi, rejoint sur scène par celui qu'il avait battu en finale en 1983, Mats Wilander.
Depuis Yannick Noah, la France attend toujours une victoire masculine aux Internationaux de France.
Aujourd'hui âgé de 63 ans, Yannick Noah est un chef traditionnel au Cameroun. - AfricaLog avec agence
Des habitants disent entendre des tirs Ă Khartoum, au sixième jour d’un cessez-le-feu censĂ© expirer, mais jamais respectĂ© par l’armĂ©e et les paramilitaires en guerre pour le pouvoir depuis le 15 avril. Â
Alors que les combats se poursuivent, le gouverneur du Darfour a exhorté les civils de cette vaste région de l’ouest à s’armer, faisant planer le spectre de la guerre civile.
MalgrĂ© tout, Washington et Riyad, qui ont nĂ©gociĂ© la trĂŞve en cours avec l’armĂ©e du gĂ©nĂ©ral Abdel Fattah al-Burhane et les paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR) du gĂ©nĂ©ral Mohamed Hamdane Daglo, ont rĂ©clamĂ© sa prolongation au-delĂ de son expiration. «Les deux camps ont dit aux mĂ©diateurs viser la dĂ©sescalade […] et pourtant, ils se positionnent pour une escalade», dĂ©noncent-ils ensemble. Â
Ă€ Khartoum, «on entend des tirs dans le sud de la ville», rapportent dimanche des habitants. Les deux camps se renvoient inlassablement la faute d’avoir brisĂ© la trĂŞve censĂ©e dĂ©gager des passages pour l’aide humanitaire et les civils. Â
Il faut, plaident Saoudiens et Américains, «donner plus de temps aux humanitaires pour mener leur travail vital».
Ces derniers assurent n’avoir pu acheminer de très faibles quantités de nourriture et de médicaments alors que 25 des 45 millions de Soudanais ont désormais besoin d’aide pour survivre selon l’ONU.
Et, si aucun couloir sécurisé n’est dégagé, l’ONG Médecins sans frontières (MSF) a prévenu qu’elle pourrait être forcée de suspendre ses activités.
La guerre a fait plus de 1800 morts, selon l’ONG ACLED.
Les FSR se sont dites «prêtes à négocier l’extension du cessez-le-feu», sous réserve du respect par l’armée de la trêve actuelle. L’armée a déclaré de son côté «examiner la possibilité d’accepter une prolongation». - AfricaLog avec agence
Huit nouveaux corps ont été exhumés dans la forêt de Shakahola, dans l’est du Kenya, portant à 98 le nombre de morts au sein d’une secte qui prônait un jeûne extrême pour «rencontrer Jésus».
"Nous rentrons chez nous pour vivre avec nos petits-enfants" après "les affres de la guerre et de la vie": vétéran des guerres d'Indochine et d'Algérie au service de la France, Yoro Diao retourne définitivement au Sénégal avec d'autres tirailleurs, après une bataille avec l'administration française pour la reconnaissance de leurs "sacrifices".
Le chef spirituel tibétain, le Dalaï-Lama, s’est excusé, lundi, après la publication d’une vidéo où on le voit embrasser un enfant sur la bouche.
Un communiqué publié sur son site officiel indique que le dirigeant de 87 ans regrette l’incident et souhaite «présenter ses excuses au garçon et à sa famille, ainsi qu’à ses nombreux amis à travers le monde, pour le mal que ses paroles ont pu causer.»
L’incident s’est produit lors d’un rassemblement public en février au temple Tsuglakhang, à Dharamsala, où vit le chef exilé. Il répondait aux questions du public lorsque le garçon lui a demandé s’il pouvait le serrer dans ses bras.
Le Dalaï-Lama a invité le garçon à monter vers la plateforme sur laquelle il était assis. Dans la vidéo, il a fait un geste vers sa joue, après quoi l’enfant l’a embrassé avant de le serrer dans ses bras.
Le Dalaï-Lama a demandé alors au garçon de l’embrasser sur les lèvres et a tiré la langue. «Et suce ma langue», peut-on entendre le Dalaï-Lama dire alors que le garçon tire sa propre langue et se penche, provoquant des rires dans le public.
Les images ont suscité l’ire des internautes, qui ont jugé son comportement inapproprié et dérangeant.
«Sa Sainteté taquine souvent les gens qu’il rencontre de manière innocente et ludique, même en public et devant les caméras», lit-on dans la déclaration.
Le Dalaï-Lama a fait de la ville de Dharmsala son quartier général depuis qu’il a fui le Tibet, après un soulèvement raté contre la domination chinoise en 1959. L’Inde considère le Tibet comme faisant partie de la Chine, bien qu’il accueille des exilés tibétains. - AfricaLog avec agence
"Au Sénégal de Macky Sall, dire non = prison": quelques centaines de membres de la diaspora sénégalaise ont manifesté à Paris à l'appel du parti de l'opposant Ousmane Sonko pour dénoncer les "dérives autoritaires" selon eux du président sénégalais Macky Sall.
Les manifestants se sont rassemblés  à l'appel du parti des Patriotes du Sénégal pour le travail, l'éthique et la fraternité (Pastef), présidé par Ousmane Sonko, principal opposant à M. Sall.
M. Sonko est candidat déclaré à celle de février 2024.
Un autre acteur, le président Macky Sall lui-même - élu en 2012 pour sept ans et réélu en 2019 pour cinq ans - entretient le flou sur son intention de passer outre ou non aux objections constitutionnelles et de briguer un troisième mandat.
Scandant les slogans "Macky Sall le dictateur", les manifestants ont aussi crié les noms de membres du Pastef actuellement emprisonnés au Sénégal. Selon le Pastef, au moins 102 de ses membres sont détenus pour délits d'opinion.
"On est en train de vivre une dictature au Sénégal", déplore Pape Alioune Gueye, 35 ans, comptable. "Macky Sall nous a vendu du rêve en 2012 avec un programme, et depuis, il mène une campagne de détournement des deniers publics et de bafouement des libertés".
"C'est aujourd'hui plus que jamais qu'il faut se mobiliser" au Sénégal et "à l'international" contre une éventuelle candidature de M. Sall à un troisième mandat. - AfricaLog avec agence