Karim Wade, le fils de l'ancien président Abdoulaye Wade, a été désigné samedi candidat de l'ex-parti au pouvoir au Sénégal pour la prochaine élection présidentielle, à deux jours du verdict attendu de son procès pour enrichissement illicite et corruption, a-t-on appris auprès de responsables du parti.
Déjà utilisés pour le déminage, les rats géants de l'ONG belge Apopo s'attaquent à un autre fléau au Mozambique: la tuberculose et son diagnostic. Cette méthode iconoclaste pourrait offrir une alternative salutaire en l'absence d'un vrai réseau de laboratoires médicaux.
Le président ivoirien Alassane Ouattara a été officiellement désigné dimanche comme candidat de son parti à la présidentielle d'octobre. Cette élection est cruciale pour la Côte d'Ivoire, qui sort d'une décennie de crise politico-militaire.
A l'issue de son congrès, le Rassemblement des républicains (RDR), formation politique du président, a "désigné le docteur Alassane Ouattara, économiste, candidat du RDR" , dans une résolution spéciale lue publiquement.
Le FBI a ouvert une enquête sur la mort d'un Noir retrouvé pendu dans l'État du Mississippi près de trois semaines après sa disparition, a-t-on appris de source policière.
Son corps a été retrouvé pendu à un arbre jeudi dans les bois à Port Gibson, à moins d'un kilomètre de son dernier domicile, par des policiers qui ratissaient le terrain à sa recherche, selon un communiqué du FBI.
L'homme avait disparu le 2 mars et sa famille avait déclaré sa disparition au shérif du comté de Clairborne.
La Coordination des organisations de la société civile pour l'alternance (COSCA) du Burkina Faso a demandé jeudi aux autorités de la transition d'ouvrir une enquête parlementaire sur les circonstances de décès des martyrs du soulèvement populaire, en octobre 2014, qui a renversé le régime du président Blaise Compaoré.
Lors d'un point de presse à Ouagadougou, la COSCA a demandé au président du Conseil national de la Transition (Parlement, ndlr) d'"instituer une enquête parlementaire sur les circonstances de décès des martyrs, vu la léthargie de l'action gouvernementale".
Le président américain Barack Obama a appelé jeudi le premier ministre israélien Benjamin Netanyahou pour le féliciter de la victoire de son parti à l'issue d'une campagne qui a accru les tensions entre les deux alliés.
M. Obama «a parlé avec le premier ministre Netanyahou pour le féliciter du succès de son parti» lors des élections législatives de mardi, a indiqué la Maison Blanche, précisant que le président américain avait souligné l'importance du «partenariat profond et durable» existant entre les deux pays.
Barack Obama a assuré jeudi le président tunisien Béji Caïd Essebsi de son soutien après la sanglante attaque contre le musée du Bardo de Tunis, saluant la force et l'unité du peuple tunisien face au terrorisme.
Le président américain a réaffirmé, lors d'une conversation téléphonique avec son homologue, la solide coopération anti-terroriste et sur les questions de sécurité au sens large avec le gouvernement tunisien, a indiqué la Maison Blanche.
Le président sierra-léonais Ernest Bai Koroma a limogé son vice-président Samuel Sam-Sumana, mettant fin à une crise au sommet de l'État ouverte par l'exclusion du parti au pouvoir de M. Sam-Sumana, qui avait demandé l'asile aux États-Unis, se disant en danger.
Dans un communiqué lu à la radio dans la nuit de mardi à mercredi, M. Koroma annonce relever Samuel Sam-Sumana de ses fonctions de vice-président, avec effet immédiat, précisant être en discussion avec son parti pour lui désigner rapidement un successeur.
Des représentants d'une dizaine de partis politiques, issus de la majorité et de l'opposition à Alassane Ouattara, ont annoncé mardi soir la création d'une coalition contre le chef de l'Etat ivoirien, seul candidat d'envergure déclaré avant la présidentielle d'octobre.
Cette coalition qui se veut victorieuse contre Ouattara rassemble tous ceux qui jugent son bilan catastrophique, tous les frustrés, les peureux, les hésitants, les déçus des deux camps pour qui Ouattara ne mérite pas un second mandat, a déclaré Mamadou Koulibaly, l'un de ses membres, lui-même candidat déclaré au scrutin.
Le président sénégalais Macky Sall a annoncé mardi la tenue d'un référendum l'an prochain sur la réduction du mandat présidentiel de sept à cinq ans, disant vouloir "donner l'exemple" alors que d'autres dirigeants africains cherchent à se maintenir au pouvoir.
Macky Sall n'a pas dit s'il briguerait un deuxième mandat dans ce pays d'Afrique de l'Ouest considéré comme un bastion de la démocratie dans une région troublée mais il est probable qu'il sera candidat à sa propre succession.