Le président gambien Yahya Jammeh a fustigé mercredi soir les comploteurs qui visent un changement de régime par la violence, assurant qu'ils ne réussiront jamais, dans sa première déclaration publique depuis le putsch manqué contre son régime.
Le Conseil de sécurité de l'ONU a condamné mercredi la tentative de coup d'Etat en Gambie visant à renverser le président Yahya Jammeh, qui dirige le pays depuis 20 ans, et le secrétaire général de l'ONU a réclamé une enquête.
L'ambassadeur du Tchad à l'ONU, Cherif Mahamat Zene, qui préside le Conseil, a également annoncé que le représentant spécial de l'ONU pour l'Afrique de l'Ouest se rendrait rapidement en Gambie pour enquêter sur les événements et informer le Conseil.
L’Association des Anciens Boursiers Guinéens du Gouvernement des Etats-Unis d’Amérique (GUSAA) est passée à la phase active de son programme de formation des élèves leaders sur le VIH et le Sida.
Attentat suicide à la voiture piégée près du siège provisoire du Parlement, hélicoptère abattu, important terminal pétrolier en feu: la Libye en proie aux violences et aux luttes de pouvoir risque de basculer dans une guerre totale.
Depuis la chute du régime en octobre 2011 du régime de Mouammar Kadhafi après une révolte de huit mois, le pays est livré aux milices rivales formées d'ex-rebelles sans que les autorités de transition parviennent à rétablir l'ordre.
Un projet de résolution palestinien, portant sur un accord de paix avec Israël et demandant un retrait israélien des territoires occupés d'ici 2017, a été rejeté sans surprise mardi par le Conseil de sécurité de l'ONU. Huit pays seulement, dont la France, la Chine et la Russie, l'ont soutenu.
À Los Angeles, le rapport d'autopsie d'Ezell Ford, un jeune noir tué par la police cet été, a été accueilli avec colère, mais calme par les activistes communautaires et les proches de la victime.
La police de Los Angeles (LAPD) a diffusé lundi ce rapport attendu depuis le 11 août, quand le jeune homme de 25 ans souffrant, selon ses proches, de retard mental et schizophrénie, a été tué par deux policiers après avoir été interpellé alors qu'il marchait dans la rue. Son comportement avait été jugé «suspect» par les deux agents.
Des soldats gambiens ont attaqué tôt mardi matin le palais présidentiel à Banjul et ont été repoussés, en l'absence du président Yahya Jammeh, en visite à l'étranger, a-t-on appris de sources diplomatique, militaire et auprès d'habitants.
A Banjul, des militaires et des policiers ont été déployés dans les rues, vidées des habitants. Des patrouilles militaires invitaient les populations au calme et à rester chez elles.
La radio nationale a été coupée pendant quelques heures mais émettait de nouveau mardi peu avant 11H00 locales (et GMT), diffusant ses programmes habituels.
Les tensions restaient vives lundi entre la police et le maire de New York qui a été sifflé lors d'une cérémonie de prestation de serment, alors que les obsèques du deuxième policier récemment assassiné sont prévues le week-end prochain.
Des centaines de policiers avaient tourné le dos au maire Bill de Blasio lorsqu'il avait pris la parole samedi aux obsèques de Rafael Ramos, l'un des deux policiers assassinés le 20 décembre en pleine journée dans leur voiture à Brooklyn.
Le groupe pharmaceutique Roche a obtenu de l'Agence américaine des médicaments (FDA) une autorisation d'urgence pour un test de dépistage du virus Ebola. Il peut donner une réponse dans les trois heures.
La Cour spéciale qui juge pour enrichissement illicite présumé Karim Wade, ex-ministre et fils de l'ex-président sénégalais Abdoulaye Wade, a refusé lundi de lui accorder la liberté provisoire. Les juges ont évoqué un "risque de troubles à l'ordre public et de subornation de témoins".
Karim Wade n'a encore "été confronté à aucun témoin ni aucun prévenu", a indiqué le président de cette juridiction. De précédentes requêtes de mise en liberté provisoire de Karim Wade avaient déjà été rejetées. L'ex-ministre est en détention préventive depuis avril 2013.