La semaine qui s’achève a été marquée par une sortie très appréciée de la Première Dame de la République. Hadja Djènè Kaba Condé a, en effet, lancé un appel à la mobilisation générale contre la maladie virale Ebola.
Elle a invité l’ensemble du peuple de Guinée à se mobiliser contre ce virus maudit qui est en train de mettre en cause les efforts et acquis appréciables de la troisième République. Elle a saisi l’occasion de sa rencontre avec les femmes, venues des quatre (4) coins du pays, pour faire passer son message.
Par Mohamed Condé
Le président américain Barack Obama a demandé samedi aux Américains de ne pas «céder à l'hystérie ou à la peur» face à l'épidémie d'Ebola, les appelant à se baser sur les faits.
Au cours de son allocution hebdomadaire, Barack Obama a aussi contesté les restrictions des voyages en provenance d'Afrique de l'Ouest, l'épicentre de l'épidémie, assurant que de telles mesures ne feraient qu'aggraver la situation.
«Nous avons tous - citoyens, dirigeants, médias - une responsabilité, et un rôle à jouer», a lancé le président américain.
Huit militaires camerounais et 107 islamistes du groupe islamiste armé nigérian Boko Haram ont été tués lors d'intenses combats dans l'Extrême-Nord Cameroun, près de la frontière avec le Nigeria, a annoncé vendredi le ministère camerounais de la Défense.
Des combats d'une rare violence se sont déroulés mercredi et jeudi dans deux localités camerounaises, tuant huit soldats camerounais et 107 combattants de la secte Boko Haram, selon un communiqué lu à la radio d'Etat.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré officiellement vendredi la fin de la flambée d'Ebola au Sénégal. L'ONU a félicité les autorités du pays pour avoir pu isoler avec succès le seul cas importé dans ce pays.
L'Ebola avait été confirmé chez un jeune homme arrivé de Guinée à Dakar par la route le 29 août. Au total, 74 contacts du malade ont été identifiés et la surveillance renforcée dans tout le pays. Les tests des 74 contacts ont été négatifs.
L'ONU et la Banque mondiale s'alarment du manque de solidarité internationale envers les pays africains touchés par Ebola, qui a tué 4555 personnes, et appellent à convertir en actes les promesses internationales d'aide financière et humaine.
«Nous sommes en train de perdre la bataille» face au virus, s'est lamenté le président de la Banque mondiale, Jim Yong Kim, lors d'une conférence de presse à Paris.
La ministre des Transports du Liberia, Angela Cassell-Bush, a annoncé jeudi s'être mise volontairement en quarantaine à la suite du décès de son chauffeur personnel, du virus Ebola.
Par ailleurs, la présidence libérienne a fait état de la promesse de l'Allemagne de prendre en charge un centre de traitement d'Ebola en cours de construction par l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) à Paynesville, une banlieue de l'est de Monrovia.
Tout est parti de la nouvelle, selon laquelle, «suite aux multiples plaintes des actionnaires, l’État s’est résolu à faire céder de gré ou de force à Chantal Colle ses actions. Afin, dit-on, d’épargner à MTN une prématurée ‘’léthargie’’».
L'épidémie d'Ebola qui a fait près de 4500 morts est «la plus grave urgence sanitaire de ces dernières années» pour les responsables occidentaux qui craignent une contagion dans leurs pays et appellent à prendre des mesures plus drastiques.
Face au risque d'une propagation de la maladie sur le sol américain après la contamination d'une deuxième soignante, le président Barack Obama a assuré que les États-Unis se devaient de répondre de manière «beaucoup plus agressive».
La présidente de la Commission de l'Union africaine (UA) Nkosazana Dlamini-Zuma a condamné les agissements de l'ancien président malgache Marc Ravalomanana, de retour de son exil lundi dernier.
"La présidente de la Commission regrette l'animation par l' ancien président Ravalomanana d'une conférence de presse quelques heures seulement après son retour, et condamne fermement les propos qu'il a tenus à cette occasion", selon un communiqué de l'UA publié mercredi, relayé par la présidence de la République malgache.