Quarante-six personnes ont été tuées dans un double attentat sur un marché de Jos, dans le centre du Nigeria, où les violences meurtrières s'enchaînent malgré la mobilisation internationale contre le groupe islamiste armé Boko Haram.
«Pour le moment, nous pouvons confirmer que 46 personnes ont été tuées dans les explosions tandis que 45 personnes ont été grièvement blessées», a déclaré le commissaire de police Chris Olakpe, de l'État du Plateau, dont Jos est la capitale.
Les victimes sont «en majorité des femmes», a précisé Pam Ayuba, porte-parole du gouverneur de l'État.
Le candidat du principal parti de Guinée-Bissau, José Mario Vaz, a remporté le second tour de l'élection présidentielle avec 61,90 % des voix, selon des résultats provisoires publiés mardi par la Commission nationale électorale (CNE).
M. Vaz, 57 ans, du Parti africain pour l'indépendance de la Guinée et du Cap-Vert (PAIGC), était en lice dimanche face à Nuno Gomes Nabiam, 51 ans, candidat sans étiquette, mais bien connu pour être soutenu par des chefs de l'armée, qui a obtenu 38,10 % des suffrages.
Le président malien Ibrahim Boubacar Keïta a dénoncé lundi les crimes odieux commis à Kidal (nord-est), où une trentaine de personnes ont été tuées ce week-end dans des combats entre soldats maliens et des groupes armés, assurant qu'ils ne resteront pas impunis.
Ces violences se sont produites alors que le Premier ministre et plusieurs ministres, en visite dans le nord du pays, ont été reçus sous des balles et tirs à l'arme lourde de groupes armés samedi dans la ville, a affirmé M. Keïta dans un message diffusé par la télévision publique malienne ORTM.
Le président chinois Xi Jinping et son homologue russe Vladimir Poutine sont convenus mardi à Shanghai de resserrer leur liens, à l'heure où la Chine comme la Russie sont sous le feu des critiques sur les questions de conflits territoriaux.
Il s'agit de la première visite d'Etat en Chine de Vladimir Poutine depuis que Xi Jinping a pris la présidence chinoise début 2013 et les deux dirigeants ont lancé des manoeuvres navales conjointes en mer de Chine orientale. Ils participeront mercredi à un sommet régional sur la sécurité régionale en Asie.
Les forces du Mali se préparent à toutes les éventualités à Kidal (extrême nord-est), où des affrontements meurtriers les ont opposées samedi à des groupes armés, a affirmé dimanche soir à Bamako le Premier ministre malien, de retour d'une visite dans le nord du pays.
A Kidal, chef-lieu de région, le gouvernorat a été attaqué samedi par une coalition de forces comprenant des jihadistes, des terroristes, (...) avec l'objectif manifeste de détruire et d'attenter à nos vies, a déclaré le Premier ministre Moussa Mara à l'antenne de la télévision publique malienne ORTM.
La réplique du PEDN: «Ahmed Tidiane Souaré, ce repris de justice qui s'érige en donneur de leçons». Telle la réponse du berger à la bergère, l’ancien Premier ministre, Lansana Kouyaté a fait signer par son Porte-parole la réaction attribuée au PEDN à la suite de l’article de son successeur à la Primature.
Le Parlement a été attaqué par des hommes armés et les députés évacués dimanche en Libye, où le chef d'une force paramilitaire mène depuis plusieurs jours une offensive contre les groupes islamistes à Benghazi (est), qu'il a qualifiés de «terroristes».
Que se passe-t-il au Mali, précisément à Kidal où la souveraineté du pays ne paraît plus s’y exercer pleinement ? L’attention a été attirée par la visite qualifiée de "mouvementée" du jeune et dynamique Premier ministre, Moussa Mara dans cette localité.
Un condamné à mort qui doit être exécuté mercredi dans le Missouri réclame à la justice le droit de faire filmer son exécution par injection, en guise de preuve des souffrances qu'il est sûr d'endurer.
À moins d'être suspendue, l'exécution de Russell Bucklew, prévue le 21 mai à Bonne Terre, sera la première à être conduite aux États-Unis depuis celle qui a mal tourné le 29 avril en Oklahoma.
Le Nigeria et ses voisins ont adopté samedi à Paris, avec le soutien des Occidentaux, un plan de «guerre» contre le groupe islamiste armé Boko Haram, qualifié de «secte terroriste» et de «menace majeure» pour la stabilité de la région.
«Nous sommes ici pour déclarer la guerre à Boko Haram», a résumé le président camerounais Paul Biya, après que son homologue français François Hollande, hôte du sommet, eut annoncé l'adoption d'un «plan global régional à moyen et long terme» contre le groupe radical.