Un soldat camerounais a été tué et dix civils chinois ont probablement été kidnappés dans la nuit de vendredi à samedi après une attaque dans l'extrême-nord du Cameroun attribuée aux islamistes nigérians de Boko Haram, a-t-on appris auprès de la police.
Des islamistes de Boko Haram ont attaqué cette nuit un camp (de travailleurs du secteur routier) (...) Dix Chinois sont introuvables depuis cette attaque. Nous pensons qu'ils ont probablement été kidnappés, a affirmé sous couvert d'anonymat un commissaire de police de la région.
L'opposition politique burkinabè a annoncé jeudi une batterie de mesures et dispositions, dont "un grand rassemblement populaire" au stade du 4 août, à Ouagadougou, le 31 mai prochain, pour protester contre un éventuel référendum en faveur de la modification de l'article 37 de la Constitution, qui permettrait au président Blaise Compaoré, arrivé au pouvoir en 1987, de se représenter à l'élection présidentielle de 2015.
BSGR ne semble pas se résoudre après l’expropriation dont elle vient de faire l’objet par le régime en place. Elle annonce, dans un communiqué, avoir «pris aujourd'hui [le 8 mai 2014, date de la publication de son avis ; NDLR] les premières mesures préparatoires pour entamer des procédures d’arbitrage auprès du Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (« CIRDI ») à l'encontre du président Alpha Condé et du gouvernement de la Guinée (« GdG »)».
Il fallait s’attendre à une réaction de l’ONG "Médecins Sans Frontières" (MSF) à la suite de la sortie du Président Alpha Condé, lorsqu’il avait déclaré au siège du RPG Arc-en-ciel, le samedi 10 mai 2014, parlant de la riposte à la fièvre Ebola, que «Les "Médecins Sans Frontières" ne nous ont pas aidés, ils ont fait des communications pour qu’ils aient assez d’argent. Nous avons eu beaucoup de partenaires qui nous ont aidés».
Une jeune femme chrétienne a été condamnée jeudi à la peine de mort par pendaison pour apostasie au Soudan, provoquant la colère des États-Unis et du Royaume-Uni.
Née d'un père musulman, Meriam Yahia Ibrahim Ishag (sur la photo avec son mari Daniel Wani) a été condamnée en vertu de la loi islamique en vigueur au Soudan depuis 1983 et qui interdit les conversions sous peine de mort.
AfricaLog se fait le devoir de publier tel quel, le droit que confère la loi à tout citoyen qui s’estime lésé dans ses droits par voix de presse, à savoir le droit de réponse.
Le texte ci-dessous et le titre, sont de l’intéressé, Dr Ahmed Tidiane Souaré, ancien Premier ministre Chef du Gouvernement.
Bonne lecture:
Les Américains ont menacé jeudi de saigner l'économie russe déjà mal en point à coups de nouvelles sanctions si la Russie cherchait à empêcher la tenue en Ukraine du scrutin présidentiel du 25 mai crucial pour l'avenir du pays.
Les menaces des Occidentaux interviennent alors que les affrontements entre l'armée ukrainienne et les séparatistes armés se multiplient dans l'est de l'Ukraine près d'un mois après le lancement d'une opération antiterroriste qui visait à rétablir le contrôle de Kiev sur les régions sécessionnistes.
Le Qatar, sous le feu de critiques internationales et qui prépare le Mondial de 2022, a promis mercredi l'abolition du système de parrainage qui met les travailleurs étrangers à la merci de leurs employeurs qataris.
Le président de la FIFA, Joseph Blatter, s'est aussitôt félicité des réformes annoncées, qu'il a qualifiées dans un communiqué d'«étape importante dans la bonne direction pour un changement durable dans les normes de protection des travailleurs au Qatar».
L’adhésion à une formation politique est le signe de l’engagement de l’adhérant à respecter le règlement intérieur de celle-ci après avoir pris connaissance du contenu du programme de son leader. Voilà un principe connu de tous.
Cependant, lorsque le citoyen "bondit" de parti en parti, on est obligé de le taxer de "nomade politique". C’est ce qu’ont voulu faire savoir des jeunes militants de Guinée Pour Tous (GPT) en prenant récemment connaissance de la démission d’un des cadres de ce parti, accueilli pourtant, il y a seulement, un peu plus d’un an.
La juge sud-africaine devant laquelle Oscar Pistorius est jugé pour le meurtre de sa petite amie a ordonné mercredi des examens psychiatriques pour établir si le champion paralympique souffrait vraiment d'un trouble anxieux généralisé comme l'a affirmé la défense.
Le rapport de la psychiatre citée par la défense «ne peut pas remplacer une évaluation appropriée», a expliqué la juge Thokozile Masipa, accédant à la demande de la poursuite de faire réaliser une contre-expertise psychiatrique indépendante.