Michelle Obama, l'épouse du président américain, a dénoncé samedi l'enlèvement de plus de 200 Nigérianes au moment où l'aide étrangère se met en place, sur le terrain, pour aider les autorités nigérianes à retrouver les captives.
«Comme des millions de gens dans le monde entier, mon mari et moi-même éprouvons de la révolte et du chagrin après l'enlèvement de plus de 200 jeunes Nigérianes», a expliqué Mme Obama, qui remplaçait son époux pour l'allocution hebdomadaire de la Maison Blanche.
Vladimir Poutine a provoqué le courroux du gouvernement de Kiev en se rendant vendredi en Crimée pour une nouvelle démonstration de force, alors que l'Ukraine s'enfonce dans la violence avec plus de 20 morts dans des affrontements à Marioupol (sud-est).
Une soixantaine d'insurgés équipés d'armes automatiques ont attaqué le siège local de la police, a indiqué le ministre ukrainien de l'Intérieur, Arsen Avakov, sur sa page Facebook.
Il a indiqué que les affrontements avaient fait 20 morts parmi les assaillants et un parmi les policiers.
«J'aime tuer quiconque Dieu me demande de tuer, de la même manière que j'aime tuer des poulets et des moutons»: avec Abubakar Muhammad Shekau, le chef de Boko Haram, les choses sont claires.
À l'image de cette morbide sentence tirée de l'une de ses premières vidéos en 2012, le leader du groupe islamiste qui a revendiqué l'enlèvement de plus de 200 écolières au Nigeria, est tellement extrémiste et violent que même certains de ses anciens alliés islamistes ont coupé les ponts.
Le Conseil de sécurité de l'ONU a décrété vendredi des sanctions contre trois responsables centrafricains: l'ex-président François Bozizé, le coordinateur des milices anti-balaka Levy Yakété et le numéro deux de l'ex-coalition rebelle Séléka, Nourredine Adam.
Ces sanctions ciblées, prévues par la résolution de l'ONU du 28 janvier dernier et proposées par la France et les Etats-Unis, consistent en un gel des avoirs et une interdiction de voyager.
La décision a été prise par le Comité des sanctions, qui dépend du Conseil de sécurité.
Le président sud-soudanais Salva Kiir et son ancien vice-président Riek Machar, dont les troupes respectives s'affrontent depuis mi-décembre au Soudan du Sud ont signé vendredi à Addis Abeba un engagement à cesser les hostilités.
Dans ce document, également paraphé par le Premier ministre éthiopien Hailemariam Desalegn, hôte des négociations, les deux dirigeants ont convenu que toutes les activités hostiles cesseraient dans les 24 heures, a déclaré Seyoum Mesfin, un des responsables de la médiation.
Un projet américain visant à installer l'électricité pour 50 millions d'Africains a été approuvé jeudi par la Chambre des représentants des États-Unis, qui espère faire de ce plan la prochaine grande initiative américaine sur le continent.
Le SĂ©nat doit maintenant examiner le projet.
Le président Barack Obama a annoncé en juin, lors d'une tournée en Afrique, que les États-Unis voulaient aider les deux tiers des Africains à accéder à l'énergie électrique de façon fiable.
La cour pénale d'appel de l'Oklahoma a ordonné jeudi l'arrêt des exécutions pendant six mois dans cet Etat du sud des Etats-Unis. Le 29 avril, un condamné à mort a été exécuté dans d'apparentes souffrances, succombant au terme d'une agonie de plus de 40 minutes.
Dans son arrêt, le tribunal donne raison à un condamné à mort, qui devait être initialement exécuté le même jour, deux heures après l'incident.
Le prêcheur islamiste britannique Abou Hamza a raconté jeudi lors de son procès à New York qu'il avait perdu ses deux mains en 1993 en manipulant des explosifs de l'armée à Lahore, au Pakistan.
Ces explosifs avaient été préparés par un homme portant le même nom qu'un «formateur» de recrues d'Al Qaïda en Afghanistan entre 1999 et 2001.
C’est l’inquiétude après la décision du Bureau exécutif national de l’Union des Forces Républicaines (UFR) de Sidya Touré de condamner la liberté d’opinion exprimée par un jeune leader de parti politique à travers son «cri de cœur».
Inquiétude en ce sens que, l’ancien Premier ministre qui briguera certainement la magistrature suprême de la Guinée lors de la prochaine présidentielle, serait un adepte de la pensée unique.
La banque américaine JPMorgan Chase est en train de fermer les comptes bancaires d'actuels et d'anciens dirigeants hauts placés non-américains et de diplomates, a-t-on appris mardi auprès d'une source proche du dossier.
JPMorgan, via sa branche de détail Chase, a commencé à envoyer des lettres aux personnes concernées en juillet dernier pour les informer de sa décision, a ajouté cette source qui a requis l'anonymat.