Le président Goodluck Jonathan a déclaré dimanche que son gouvernement espérait l'aide du président Barack Obama pour aider son pays à résoudre ses graves problèmes de sécurité, au moment où une campagne pour libérer les étudiantes enlevées par le groupe islamiste Boko Haram commence dans le monde.
Dans la foulée de l'exécution ratée de Clayton Lockett en Oklahoma, le président américain Barack Obama demandera au procureur général d'analyser les problèmes entourant la peine de mort aux États-Unis.
Il s'agissait des premiers commentaires publics du président sur le cas qu'il a qualifié de «profondément troublant» du meurtrier Clayton Lockett, condamné à mort. M. Obama, un ancien professeur de droit constitutionnel, a exprimé des émotions contradictoires sur la peine de mort et a affirmé que les Américains devaient se poser de sérieuses questions sur le sujet.
Le voile se lève peu à peu sur ce qui est convenu d’appeler l’affaire BSGR. Dans la présente mise on line, AfricaLog fait revivre certains propos qui situent sur la responsabilité d’un ancien Premier ministre du temps du Président Lansana Conté.
En effet, contre toute attente, dans un décret de mai 2008, le Chef de l’Etat d’alors démettait Lansana Kouyaté de son poste de Premier ministre, Chef du Gouvernement pour le remplacer par un certain Dr Ahmed Tidiane Souaré.
La Cour Suprême du Bénin, la plus haute juridiction administrative, vient de casser les arrêts rendus par la Chambre d'accusation de la cour d'appel de Cotonou, dans les affaires relatives au "tentative d'assassinat du président Boni Yayi" et à celle "de tentative d'atteinte la sûreté intérieure de l'Etat", a-t-on appris vendredi soir de sources judiciaires à Cotonou.
Un porte-parole du Haut-Commissariat aux droits de l'homme des Nations unies a critiqué vendredi à Genève le recours aux exécutions aux États-Unis.
Rupert Colville a estimé que la souffrance du condamné à mort américain Clayton Lockett au cours d'une exécution bâclée en Oklahoma, cette semaine, pouvait s'apparenter à un traitement cruel, inhumain et dégradant en vertu des droits de la personne.
Le directeur des prisons de l'Oklahoma, qui avait présidé à une exécution qui a mal tourné mardi soir, a réclamé jeudi l'arrêt de toutes les exécutions pour une durée indéterminée, le temps de réviser entièrement les procédures.
Robert Patton plaide pour une «révision complète du protocole d'exécution» en Oklahoma, dans une lettre à la gouverneure, Mary Fallin, rendue publique au surlendemain de l'exécution de Clayton Lockett, qui a succombé à une «crise cardiaque foudroyante» 43 minutes après le début de l'injection létale, après avoir apparemment beaucoup souffert.
L’ambassadeur des Etats-Unis d’Amérique en Guinée s’inquiète pour la Guinée. A l’occasion de la récente session de renforcement de capacités des députés de la législature en cours, Alexander Laskaris a lancé une invite à la représentation nationale pour que le pays ne connaisse plus les débats de rue mais plutôt des débats d’idées.
L’inquiétude du Chef de la mission diplomatique américaine s’explique par les propos souvent tenus par les politiciens qui menacent de faire redescendre les militants et sympathisants dans la rue si leurs desiderata n’étaient pas satisfaits par le pouvoir.
L'ancien président américain George W. Bush a déclaré dans une interview diffusée jeudi par la chaîne de télévision CNN souhaiter que son frère Jeb soit candidat à la Maison blanche en 2016.
"J'espère que Jeb sera candidat", a-t-il dit. "Je pense qu'il ferait un grand président. Je ne sais pas ce qui se passe dans sa tête et nous en parlerons quand il sera prêt. J'ai remarqué qu'il circule pas mal à travers le pays".
La longue agonie d'un condamné à mort, mardi soir en Oklahoma, illustre la grande confusion des États américains qui, en panne de barbituriques pour procéder à leurs exécutions, bataillent pour trouver une solution de repli.
La Maison Blanche a estimé que les circonstances de l'exécution de Clayton Lockett n'avaient pas respecté les critères d'«humanité». «Même quand la peine de mort est justifiée, elle doit être appliquée avec humanité», selon Jay Carney, le porte-parole du président Barack Obama.
La justice burkinabè s'est déclarée incompétente mercredi sur la demande d'exhumation du corps de Thomas Sankara, dirigeant du Burkina Faso assassiné en 1987 lors d'un coup d'Etat qui porta au pouvoir l'actuel président Blaise Compaoré.
La famille Sankara avait demandé cette exhumation pour s'assurer que le corps enterré est bien celui de l'ex-président.
A l'énoncé de la décision, une centaine de personnes ont manifesté dans l'enceinte même du tribunal, s'écriant A bas la justice burkinabé ou encore A quand la vérité pour le peuple burkinabè ?.