Trois semaines après avoir vu un tsunami de 14 mètres de haut dévaster la centrale de Fukushima où il travaillait, Hiroyuki Kohno vient d'accepter d'y retourner pour une mission qu'il sait périlleuse.
«Pour être franc, personne ne veut y aller», confie à l'AFP le contrôleur de radioactivité de 44 ans, qui a toujours travaillé dans des installations nucléaires.