L’usage excessif de la force en Guinée dénoncé par l’ONU
Oct 23, 2010
Lors d’un point de presse à Genève, le Haut Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme (HDCH) « reconnaît que les autorités ont eu une tâche difficile face aux manifestations du 18-20 octobre, qui dans certains cas ont dégénéré en violences, y compris des jets de pierre, des pneus brûlés et l’érection de barricades bloquant les rues, ce qui a eu pour conséquence de faire 10 blessés parmi les forces de l’ordre».
« Néanmoins, le HCDH estime que les forces de sécurité ont commis de graves violations des droits de l’homme en tirant aveuglément contre des civils non armés, parfois à bout portant, en entrant de force dans des maisons et en les mettant à sac, et en battant violemment de jeunes hommes qui n’offraient pas de résistance » a déclaré le porte-parole, Rupert Colville.
Le Haut Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme (HCDH) est préoccupé par le fait que des membres des forces de sécurité auraient proféré des menaces, et procédé à des attaques, sur la base de l'appartenance ethnique des victimes ou leur affiliation politique.
Selon le HCDH, les forces de sécurité guinéennes ont ouvert le feu sur des manifestants sans arme, tirant dans certains cas à bout portant. Qui a donné l’ordre de tirer? – AfricaLog.com
Asmaou bah (not verified)
posted Nov 04, 2010
je felicite la communaute internationale pour les efforts qu'elles ne cessent de deployer en guinee pour une guinee unie et prospere.
Mais je crois que l'ONU doit aller au dela de cette denonciation.Trop, c'est trop,le peuple a trop souffert des exactions du pouvoir depuis Sekou Toure jusqu'a maintenant
trop de frustration
trop de blesses
trop de morts
trop de prisonniers
trop d'injustice
trop de pillage
trop de perte
trop c'est vraiment trop,j'en appel a la retenu et a plus de responsabilite des extremistes.Que plus jamais de telle chose dans mon pays.Que les coupables soient idenfies et punis avec la derniere energie
trop de deplaces
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SOW (not verified)
posted Oct 23, 2010
Je suggère aux victimes de se constituer en une association qui prendra cette affaire de violation de droits humains en charge pour la porter devant la CPI. Cette cour est en mesure de répondre à votre question (qui a donné l'ordre?) et de pronnoncer le jugement afin que ces actes ne reprennent plus jamais en guinée.
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