Les forces de l'ancien président Laurent Gbagbo et celles du nouveau chef d'Etat Alassane Ouattara ont commis des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité en Côte d'Ivoire, au cours des six mois de crise post-électorale, a affirmé mercredi Amnesty International.
Le ministère français des Affaires étrangères a rejeté jeudi les accusations d'Amnesty International, qui a accusé dans un rapport plusieurs pays dont la France d'avoir fourni par leur aide militaire à la Guinée "les outils" d'une répression sanglante à Conakry en septembre 2009.
"Il est mensonger de suggérer que la France n'a pas respecté ses engagements en matière de contrôle des exportations sensibles, alors qu'elle a précisément suspendu très tôt toute livraison à destination de la Guinée", déclare le ministère dans un communiqué.