«Il n’y a pas de loi aujourd’hui pour la restructuration de la CENI, il faut un consensus», déclare le leader de l’UFC. Le cadre de dialogue qui se précise dans la salle des Actes du Palais du peuple a, parmi les sujets de préoccupation, l’article 162 du code électoral qui accorderait «des pouvoirs exorbitants au Président de la Commission Electorale Nationale Indépendante», selon certains.