Bon nombre d'Ivoiriens demeurent hostiles à une intervention militaire étrangère pour régler le bras de fer entre le président sortant Laurent Gbagbo et son rival adoubé par la communauté internationale, Alassane Ouattara, même au prix d'une longue impasse politique.
Le président ivoirien Laurent Gbagbo a expliqué qu'il ne se rendrait pas en France avant que Paris et Abidjan n'aient discuté de leur "différend fondamental" lié au putsch manqué de 2002 contre son régime, dans une interview diffusée dimanche sur RFI.
M. Gbagbo fait partie des absents du 25e sommet Afrique-France lundi et mardi à Nice (sud de la France).