Il ne préside pas, officiellement, aux destinées du Conseil suprême pour la restauration de la démocratie (CSRD), certes, mais il n’est nullement la figure la moins connue de cette junte qui a brisé, le jeudi 18 février 2010, le rêve de Mamadou Tandja de s’approprier, à jamais, les rênes du Niger ; loin s’en faut.