L'annonce de cette contamination a ravivé les craintes sur la capacité des États à contenir la plus grave épidémie du virus Ebola en Afrique de l'Ouest depuis l'identification du virus en 1976, et sur les mesures de protection adoptées.
La fièvre hémorragique a fait 4033 morts sur 7399 cas recensés dans 7 pays - surtout en Guinée, Sierra Leone et Liberia, mais aussi Nigeria, Sénégal, Espagne et États-Unis -, selon le dernier bilan de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), arrêté au 8 octobre.
Des milliers de personnes ont manifesté dans les rues de Saint-Louis (Missouri) samedi pour protester contre le racisme et la violence policière, rappelant le meurtre d'un jeune noir par un policier blanc à Ferguson en août dernier.
Les manifestants, quelque 5000 personnes, avaient écrit sur des banderoles «Justice pour tous» et «Les vies des Noirs comptent aussi».
La police et les organisateurs, interrogés, n'ont pas fourni dans l'immédiat d'estimations du nombre des personnes qui se sont ainsi rassemblées.
La mobilisation contre le virus Ebola ne doit pas conduire à «terroriser» la planète en stigmatisant l'Afrique dans son ensemble, a mis en garde samedi la directrice générale du FMI Christine Lagarde.
«Nous devons faire preuve d'une extrême prudence pour ne pas terroriser la planète vis-à -vis de l'Afrique dans son ensemble», a déclaré la patronne du Fonds monétaire international à Washington.
L'épidémie d'Ebola, qui a fait plus de 4000 morts, est pour l'heure concentrée dans trois pays d'Afrique de l'Ouest (Liberia, Sierra Leone, Guinée).
Le Guinéen placé vendredi en quarantaine au Brésil, en attente d'un diagnostic, n'est finalement pas porteur du virus d'Ebola, a annoncé samedi le ministère de la Santé, à la lumière des résultats d'analyses.
«Le ministère de la Santé annonce que les résultats d'analyse devant déterminer si le patient est infecté par le virus d'Ebola sont négatives», a indiqué le ministère, précisant que de nouvelles analyses de vérification seraient effectuées dans les prochaines 48 heures.
Cette annonce éloigne la menace que le Guinéen soit le premier cas d'Ebola en Amérique latine.
Du 7 au 9 septembre 2014, le Sous-secrétaire Général de l’ONU et Chef de la Mission d’Urgence des Nations Unies pour la lutte contre l’épidémie de la fièvre Ebola (UNMEER) a visité la Guinée en compagnie d’une forte délégation de hauts responsables des Agences du système des Nations Unies et une haute personnalité du Ministère des Affaires Etrangères de la Grande Bretagne.
L’UNMEER est chargée de coordonner la réponse à la progression de l’épidémie. Elle sera opérationnalisée par des Bureaux Pays dans les 3 pays affectés par la crise (Guinée, Liberia, Sierra-Leone).
Malala Yousafzai, l'adolescente pakistanaise de 17 ans, rescapée d'une attaque par les talibans, s'est dite «fière d'être la première Pakistanaise et la première jeune femme» à recevoir, avec l'Indien Kailash Satyarthi, le prix Nobel de la Paix, lors d'une conférence de presse à Birmingham.
«Cette récompense est pour tous les enfants sans voix, et qui doivent être entendus», a-t-elle déclaré.
Le commandant du traversier sud-coréen dont le naufrage a fait 300 morts en avril a dit mercredi pendant son procès «mériter la peine de mort», mais s'est défendu d'avoir «sacrifié» les passagers pour sauver sa vie.
Le Sewol a fait naufrage le 16 avril au large de la pointe sud de la péninsule coréenne, faisant plus de 300 morts, en majorité des écoliers en voyage scolaire.
L'inquiétude face aux risques de propagation de la fièvre Ebola était de plus en plus forte jeudi, des spécialistes comparant l'épidémie au sida. A Madrid, l'état de santé de la première personne contaminée hors d'Europe s'est dégradé.
"Cela va être un long combat (...). Depuis trente ans que je travaille dans la santé publique, la seule chose comparable a été le sida", a déclaré le Dr Tom Frieden, directeur des Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC) lors d'une table ronde à Washington.
La session budgétaire de l’Assemblée Nationale a été ouverte le mercredi 8 septembre 2014. Il s’agit de la seconde session régulière consacrée à l’examen et à l’adoption de la loi de Finances initiale 2015. Elle se fonde sur l’Article 68 de la Constitution, «L’Assemblée Nationale se réunit de plein droit en session ordinaire deux fois par an.
- La première session s’ouvre le 5 Avril, sa durée ne peut excéder quatre vingt dix (90) jours ;
- La deuxième session s’ouvre le 05 octobre, sa durée ne peut excéder quatre vingt dix (90) jours ;
La Guinée a été indépendante le 2 octobre 1958. Cette date est célébrée chaque année. Exception est faite en 2014. Pour raison de déclaration de l’Urgence sanitaire nationale, la célébration tournante prévue dans la Préfecture de Mamou a été reportée au mois de décembre.