Nelson Mandela, dont la vie fut accaparée par la politique, n'eut jamais de temps pour les femmes. Mais, charmeur et facilement charmé, il rechercha toujours leur compagnie, comme en témoignent maintes idylles et trois mariages.
Ses deux premières unions cédèrent sous les pressions et les sacrifices de la lutte contre l'apartheid. C'est à 80 ans, homme libre, président semi-retraité et amoureux comme un gamin, que Mandela parut enfin trouver, au bras de Graça Machel, la paix et la sérénité.
La Corée du Nord a confirmé la disgrâce de Jang Song Thaek, oncle du dirigeant Kim Jong-un et considéré jusqu'alors comme le deuxième personnage le plus puissant du régime dynastique au pouvoir à Pyongyang. Il était vice-président de l'influente Commission de la défense nationale et siégeait au politburo du Parti des travailleurs.
Cinquante-trois chefs d'Etat ou de gouvernement ont confirmé qu'ils se rendraient en Afrique du Sud pour les funérailles de Nelson Mandela, a annoncé dimanche la ministre des Affaires étrangères.
La mort du héros de la lutte anti-apartheid, jeudi, a suscité un intérêt sans précédent dans la communauté internationale, a souligné au cours d'une conférence de presse Maite Nkoana-Mashabane.
Les militaires français ont perçu une certaine «tension» dimanche à l'approche d'éléments armés de l'ex-rébellion Séléka (au pouvoir), présents dans Bangui où les Français ont renforcé leurs patrouilles, a annoncé à Paris l'état-major des armées.
«Je pense qu'ils ont compris qu'ils vont devoir être regroupés, désarmés, que la force française est en train de s'imposer à leurs dépens dans la capitale, ce qui crée une tension», a souligné le porte-parole de l'état-major, le colonel Gilles Jaron.
Au moment où beaucoup d'investisseurs voient en l'Afrique un nouvel Eldorado, il ne faut toutefois pas attendre du continent les mêmes impulsions que celles fournies ces dernières années par les géants chinois, indien ou brésilien.
Pour réussir en Afrique les entreprises vont devoir se réinventer, et surtout estimer à sa juste valeur le marché africain, explique Donald Kaberuka, président de la Banque africaine de développement (BAD).
Le Gouvernement guinéen a promptement réagi suite au décès de Nelson Mandela. Trépas survenu le jeudi 5 novembre 2013 en Afrique du Sud. On sait que le Président Alpha Condé, en séjour à Paris, avait exprimé ses sentiments de regret dès l’annonce de la mort de l’ancien Président de la République sud-africain.
Ce vendredi 6 décembre, le Gouvernement, de son côté, est allé présenter ses condoléances à l’Ambassadeur d’Afrique du Sud en Guinée. La délégation était conduite par le Premier ministre, Mohamed Saïd Fofana.
Le Conseil des administrateurs de la Banque mondiale a approuvé ce 5 décembre 2013 un financement de 228,5 millions de dollars en faveur d’une nouvelle initiative destinée à améliorer la gestion des ressources en eau dans le bassin du Fleuve Sénégal et à stimuler les perspectives de développement de la Guinée, du Mali, de la Mauritanie et du Sénégal.
Une colonne de l'armée française, premiers renforts terrestres de l'opération Sangaris en Centrafrique, a fait samedi une entrée triomphale dans la ville de Bouar, centre névralgique dans l'ouest du pays.
Des centaines de personnes en liesse ont accueilli la colonne française d'environ 200 militaires, arrivés en provenance du Cameroun, et salués à grand cris comme des libérateurs.
Massés sur le bord de la route, femmes et enfants sautaient de joie en dansant, ou feignaient de balayer la route avec des branches en signe de bienvenue sur le passage des Français.
Le président François Hollande a appelé vendredi l'Afrique à prendre en charge sa sécurité, lors d'un sommet franco-africain de deux jours à Paris, assombri par le décès la veille de Nelson Mandela.
Cette rencontre, à laquelle participe une quarantaine de dirigeants, a débuté au moment où la France s'engage militairement en Afrique pour la deuxième fois en moins d'un an, avec l'opération "Sangaris" en Centrafrique.
L'armée française a lancé son opération en Centrafrique avec un renforcement dans un premier temps vendredi des patrouilles dans Bangui, qui vit dans la psychose de nouvelles tueries, après les massacres à grande échelle de la veille.
Si aucune violence de grande ampleur n'a été signalée vendredi, plusieurs milliers d'habitants de Bangui étaient rassemblés aux abords de l'aéroport de la capitale centrafricaine, où l'armée française et la force africaine ont leurs bases, de crainte d'exactions dans leurs quartiers voisins de Boeing et Boy-Rabe.