L'ancien président américain George W. Bush a indirectement critiqué les virulentes attaques de Donald Trump contre la presse, lors de très rares commentaires publics sur la politique et les médias.
Le 43e président des États-Unis - qui n'a pas été épargné par les médias pendant ses huit années à la Maison Blanche - ne partage pas le point de vue de son successeur qui voit dans la presse «un ennemi du peuple américain».
Le président français François Hollande a demandé samedi à son homologue américain de ne pas marquer de signe de défiance envers la France, pays ami, après des propos de Donald Trump jugeant que "Paris n'est plus Paris".
"Ce n'est jamais bon de marquer la moindre défiance à l'égard d'un pays ami", a asséné M. Hollande en inaugurant dans la capitale française le Salon annuel de l'agriculture. "Moi c'est ce que je ne fais pas à l'égard d'un pays ami et je demande que le président américain ne le fasse pas à l'égard de la France", a lancé le président socialiste.
L'une des suspectes dans l'assassinat du demi-frère du dirigeant de la Corée du Nord a raconté samedi avoir reçu l'équivalent de 90 dollars pour prendre part à ce qu'elle pensait être une émission de télévision type caméra cachée, selon un haut diplomate cité par les médias.
La police sud-africaine est intervenue vendredi à Pretoria pour prévenir des affrontements entre riverains et immigrés lors d'une manifestation contre les étrangers, cibles d'une nouvelle vague de violences xénophobes qui a mis le pays sur le qui-vive.
Depuis deux semaines, des dizaines de bâtiments occupés par des étrangers, notamment des Nigérians, et soupçonnés d'abriter des maisons de passe ou du trafic de drogue ont été brûlés par des habitants en colère à Johannesburg et dans la capitale.
"Paris n'est plus Paris": le président américain Donald Trump a cité vendredi "un ami" qui ne met plus les pieds dans la capitale française, pour défendre sa politique migratoire en prenant la France, la Suède et l'Europe en général comme contre-exemples.
"La sécurité nationale commence par la sécurité aux frontières. Les terroristes étrangers ne pourront pas frapper l'Amérique s'ils ne peuvent entrer dans notre pays", a-t-il lancé lors de la grande conférence annuelle des conservateurs CPAC.
Les Nations unies ont besoin de 4,4 milliards de dollars de financements d'urgence pour faire face à des situations de famine au Nigeria, en Somalie, au Soudan du Sud et au Yémen, selon le secrétaire général Antonio Guterres.
Plus de 20 millions de personnes sont dans des situations catastrophiques dans ces quatre pays et des actions sont nécessaires rapidement pour éviter des désastres humanitaires, a souligné mercredi M. Guterres lors d'une conférence de presse au siège de l'ONU à New York.
Deux personnes ont été tuées mardi lors de violences durant des manifestations à Conakry, la capitale guinéenne, pour la réouverture des classes, au lendemain de troubles similaires ayant fait cinq morts, selon le gouvernement guinéen.
"Le gouvernement déplore les pertes en vies humaines suite aux violences enregistrées à Conakry depuis" lundi. "Ces violences ont non seulement occasionné des destructions de biens publics et privés, mais ont également et surtout coûté la vie à sept de nos concitoyens, dont deux mardi", selon un communiqué reçu mardi soir.
Marine Le Pen, candidate d'extrême droite à la présidentielle française, s'est posée lundi au Liban en future locataire de l'Elysée, rencontrant pour la première fois un chef d'État étranger, le président Michel Aoun, tout en étant confrontée aux critiques que ses positions suscitent.
Les principales têtes de l'exécutif libanais ont reçu Mme Le Pen avec plus de distance que fin janvier Emmanuel Macron, l'un de ses grands adversaires.
Quelques centaines de scientifiques et d'environnementalistes ont manifesté à Boston pour protester contre Donald Trump et son administration qu'ils perçoivent comme une grave menace contre la science et la recherche.
Ces scientifiques, dont certains portaient une blouse blanche de laboratoire, ont surtout appelé le président Trump et son administration à reconnaître la réalité du changement climatique et à poursuivre les politiques en faveur de l'environnement.
Le sénateur républicain John McCain dit qu'une presse libre est vitale pour «préserver la démocratie telle que nous la connaissons».
L'ancien candidat à la présidence a aussi mis en garde ceux qui font des efforts pour museler la presse, en disant que «c'est comme ça que les dictateurs commencent.»
Le sénateur de l'Arizona a fait ces commentaires lors d'une entrevue pour le réseau NBC, l'animateur lui avait demandé comment il se sentait au sujet du tweet du président Donald Trump critiquant «les faux médias d'information» qui sont «l'ennemi du peuple américain».