Le président américain Barack Obama a pris jeudi une série de mesures contre les services de renseignements russes
en représailles de l'ingérence de Moscou dans l'élection présidentielle américaine, provoquant la colère du Kremlin qui a promis des mesures de rétorsion «adéquates».
Le président élu des Etats-Unis Donald Trump a accusé mercredi le président sortant Barack Obama de tenir des propos incendiaires et de mettre des obstacles qui entravent la transition à la tête de l'exécutif.
Je fais de mon mieux pour ignorer les nombreux obstacles et déclarations incendiaires du président O. Je pensais que la transition se ferait en douceur. MAIS NON!, a tweeté le tribun populiste élu le 8 novembre, sans préciser la teneur de ces obstacles ni les propos de M. Obama auxquels il se réfère.
Le président Barack Obama, qui doit quitter ses fonctions le 20 janvier, s'est dit «sûr» qu'il aurait remporté un troisième mandat si la Constitution lui avait permis d'être une nouvelle fois candidat.
Le pape François a appelé dimanche à la fin de la guerre en Syrie et à une «nouvelle page de l'Histoire» israélo-palestinienne, lors de son traditionnel message de Noël «Urbi et orbi», marqué aussi par les attentats jihadistes en Europe.
«Il est temps que les armes se taisent définitivement et que la communauté internationale s'emploie activement pour qu'on arrive à une solution négociée» en Syrie, a déclaré au Vatican le chef spirituel de 1,2 milliard de catholiques.
Israël a convoqué dimanche des représentants de pays ayant soutenu le vote à l'ONU d'une résolution contre les colonies, vivement critiquée par l'État hébreu qui s'en est pris au président américain Barack Obama.
Pour la première fois depuis 1979, les États-Unis n'ont pas mis vendredi leur véto à une résolution du Conseil de sécurité concernant la colonisation israélienne alors qu'ils soutenaient jusque-là Israël sur ce dossier extrêmement sensible.
Leur abstention, conjuguée au vote favorable des 14 autres membres, a permis l'adoption de ce texte.
Un homme d'affaires américain, co-président de la campagne de Donald Trump dans l'Etat de New York, a déclenché une vive polémique en souhaitant la mort du président sortant Barack Obama. Il a également tenu des propos à caractère raciste concernant la première dame.
Interrogé sur ce qu'il aimerait voir se produire en 2017, Carl Paladino a répondu espérer que M. Obama "contracte la maladie de la vache folle après avoir été surpris ayant des relations avec une Herford" - écorchant semble-t-il la race bovine Hereford -, et qu'il "meure avant son procès".
Le Conseil de sécurité de l'ONU a adopté vendredi une résolution réclamant l'arrêt de la colonisation israélienne des territoires occupés palestiniens. Les Etats-Unis n'ont pas utilisé leur droit de veto et se sont abstenus.
Les 14 autres membres du Conseil de sécurité se sont prononcés en faveur du texte présenté par la Nouvelle-Zélande, la Malaisie, le Venezuela et le Sénégal. Le vote a été accueilli avec des applaudissements.
L'opposant Jean Ping a invité la police et l'armée du Gabon à le rejoindre dans son combat contre la réélection du président Ali Bongo Ondimba, vendredi, en clôture d'une mobilisation partisane de cinq jours.
Je me joins à vous, pour leur dire: rejoignez-nous pour libérer le Gabon, a déclaré devant ses partisans celui qui se proclame le président élu de l'élection d'août dernier.
L'élection de Donald Trump a permis que les Etats-Unis ne deviennent pas un pays socialiste, a affirmé jeudi le milliardaire américain Carl Icahn, nommé par le président élu conseiller sur la régulation.
S'il n'avait pas été élu et si ce qui se passait avait duré quatre ans de plus, nous nous dirigions tout droit vers le socialisme qui, à mon avis, ne marche pas. Le fait qu'il a été élu est très positif et il fait du très bon travail, a affirmé M. Icahn lors d'un entretien accordé à la chaine de télévision financière CNBC.
L'auteur présumé de l'attentat au camion-bélier de Berlin, le Tunisien Anis Amri, a été abattu lors d'un contrôle de la police italienne dans la nuit de vendredi à Milan, ont annoncé les autorités italiennes. Selon les dernières informations, l'assaillant avait fait allégeance au groupe djihadiste État islamique (EI) dans une vidéo.
Lors d'une conférence de presse, le ministre de l'Intérieur, Marco Minniti, a affirmé que l'homme abattu était «sans l'ombre d'un doute» le suspect de 24 ans, en fuite depuis l'attentat qui a fait 12 morts et 50 blessés sur un marché de Noël à Berlin.