Helen Clark, ex-Première ministre de Nouvelle-Zélande, a annoncé lundi qu'elle était candidate à la succession du secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon.
Je pense avoir l'expérience et les compétences pour occuper ce poste, a affirmé la femme la plus haut placée dans la hiérarchie des Nations unies, dans un entretien.
Si elle succède à M. Ban le 1er janvier 2017, Mme Clark, 66 ans, sera la première femme à diriger l'organisation. Huit hommes se sont succédé à la tête de l'ONU depuis 70 ans.
Le président burkinabè, Roch Marc Christian Kaboré a déclaré, dimanche que depuis sa prise de fonction en janvier, son gouvernement travaille sans salaire, réaffirmant son engagement à réduire le train de vie de l'Etat.
"Je peux vous dire que depuis que nous avons commencé à travailler, le 12 janvier, les ministres sont là , je peux vous dire que personne n'a touché un franc de salaire jusqu'au moment où je vous parle", a déclaré M. Kaboré, lors d'un point de presse, à Bobo-Dioulasso (345 km à l'Ouest de Ouagadougou), à l'occasion de ses 100 jours de pouvoir.
Après dix jours de pause, les primaires présidentielles reprennent mardi dans l'État du Wisconsin, où Donald Trump et Hillary Clinton pourraient être battus par leurs rivaux respectifs Ted Cruz et Bernie Sanders.
Le Wisconsin n'a pas la capacité, à lui seul, de renverser la vapeur de la course à l'investiture. Mais pour la démocrate Hillary Clinton et surtout le républicain Donald Trump, une défaite pourrait retentir comme un signal d'alarme avant les primaires de New York le 19 avril, où ils sont tous deux favoris.
Le président nigérien Mahamadou Issoufou, réélu le 20 mars, a été investi samedi pour un deuxième mandat de cinq ans, promettant notamment de continuer à lutter contre le terrorisme, lors d'une cérémonie à Niamey à laquelle ont assisté neuf chefs d'Etat africains.
Après la proclamation des résultats (92,51% des voix au second tour, boycotté par l'opposition), M. Issoufou a prêté serment sur le Coran puis prononcé un bref discours au Palais des Congrès de Niamey, devant quelques milliers de personnes.
Le président sud-africain Jacob Zuma a subi un revers cinglant jeudi avec un arrêt historique de la plus haute juridiction du pays qui l'a reconnu coupable d'avoir violé la Constitution en utilisant des fonds publics pour sa résidence privée et lui a ordonné de rembourser l'argent.
L'opposition a immédiatement appelé à la démission de Jacob Zuma, empêtré dans plusieurs scandales, et annoncé une procédure de destitution, qui a cependant peu de chance d'aboutir.
Alors que la saison des moustiques se profile, de nombreux Américains ignorent les risques que fait courir le virus Zika, et surtout celui d'une microcéphalie du foetus. C'est ce que révèle un sondage de l'Université de Harvard.
Dans des familles où une femme attendait un enfant ou envisageait de tomber enceinte, presque une personne sur quatre (23%) ignorait le lien établi entre le virus et ce défaut congénital, qui consiste en une taille insuffisante du crâne et du cerveau.
Le grand parti centriste brésilien PMDB a fait voler en éclats mardi la coalition chancelante de Dilma Rousseff, infligeant un revers cinglant sinon fatal à la présidente de gauche sur le fil du rasoir d'une destitution.
La direction nationale du parti du vice-président Michel Temer, qui succèdera à la chef de l'Etat si elle est destituée, a officialisé sa sortie immédiate du gouvernement, appelant ses ministres à en démissionner.
L'ex-chef de l'État cubain Fidel Castro a pris la plume lundi pour répondre aux «paroles sirupeuses» du président américain Barack Obama, qui avait appelé à des changements dans le pays communiste lors de sa visite historique la semaine dernière à La Havane.
Dans cette longue lettre portant le titre «Le frère Obama», l'ex-président cubain, retiré du pouvoir depuis 2006, ironise sur le discours prononcé par M. Obama le 22 mars, au dernier jour de sa visite à La Havane, la première d'un président américain depuis 88 ans.
Le Parti socialiste au pouvoir en France a jugé samedi non crédible la réélection au premier tour du président congolais sortant, Denis Sassou Nguesso, annoncée jeudi par une commission électorale qu'il juge notoirement partiale.
Au moins trois membres du commando de Bruxelles avaient participé, de manière plus ou moins directe, aux attaques de Paris en novembre, établissant ainsi un lien formel entre les attentats les plus meurtriers de l'histoire de France et de Belgique.