Le transfèrement de l'ex-président ivoirien Laurent Gbagbo devant les instances de la Cour pénale internationale (CPI) à la veille de la visite du président ivoirien Alhassane Ouattara en Guinée le 1er décembre dernier, ne fait pas l'unanimité au sein des populations guinéennes, dont certaines y voient une soumission au "désidérata'' des occidentaux.
Cela continue de défrayer la chronique dans la capitale guinéenne.
L'ancien président ivoirien Laurent Gbagbo est «sous le choc de la surprise» de son transfert à la Cour pénale internationale (CPI) à La Haye, a déclaré son avocat Emmanuel Altit en dénonçant «la brutalité de cet enlèvement».