Nicolas Sarkozy annonce dans un livre à paraître cette semaine sa candidature "à l'élection présidentielle de 2017". L'ex-président français met ainsi fin à un faux suspense sur ses intentions.
"La France exige qu'on lui donne tout. J'ai senti que j'avais la force pour mener ce combat à un moment si tourmenté de notre histoire", écrit-il dans un extrait de la quatrième de couverture publié sur son compte Twitter.
Le roi du Maroc Mohamed VI a appelé à «un front commun pour contrecarrer le fanatisme» des djihadistes et exhorté les Marocains de la diaspora à se faire les «défenseurs» d'un islam tolérant.
«Face à la prolifération des obscurantismes répandus au nom de la religion, tous, musulmans, chrétiens et juifs, doivent dresser un front commun pour contrecarrer le fanatisme, la haine et le repli sur soi sous toutes les formes», a plaidé Mohamed VI.
L'interdiction du burkini sur certaines plages françaises a suscité une vague de critiques dans les pays anglo-saxons, qui perçoivent la mise à l'index de vêtements religieusement connotés comme un frein à l'intégration.
«Absurdité française», a lancé l'éditorialiste David Aaronovitch dans le quotidien The Times en estimant que de telles interdictions ne pouvaient qu'être l'oeuvre d'«esprits tordus» et créer plus de problèmes.
Un juge fédéral américain a ordonné à Hillary Clinton de répondre par écrit à une série de questions posées par une organisation conservatrice sur sa messagerie privée, faisant ressortir une affaire susceptible de nuire à la campagne de la candidate démocrate à la présidence.
L'interdiction du burkini par des stations balnéaires françaises a reçu mercredi le soutien du premier ministre socialiste Manuel Valls, mais elle ne fait pas l'unanimité en France et est franchement critiquée à l'étranger.
L'épisode donne lieu à une énième polémique franco-française sur la laïcité, valeur brandie par les partisans de l'interdiction du burkini (contraction de burqa et bikini), notamment à droite, comme par ses opposants, plutôt à gauche.
Écartée du pouvoir en mai par le Sénat, Dilma Rousseff a promis mardi de convoquer un référendum sur des élections anticipées si elle n'était pas destituée fin août, dans une lettre ouverte au peuple brésilien où elle clame son innocence.
«Il faut que le Sénat mette fin à la procédure de destitution, en reconnaissant, face aux preuves irréfutables, qu'il n'y a pas eu crime de responsabilité, que je suis innocente», dit-elle dans cette lettre lue au Palais de l'Alvorada à Brasilia devant la presse, et qu'elle a postée sur des réseaux sociaux.
La manifestation organisée mardi par les partis politiques de l'opposition guinéenne s'est soldé par des heurts qui ont provoqué la mort d'un jeune et deux blessés graves dont une femme.
Selon des témoins, la victime Thinerno Hamidou Diallo, âgé de 20 ans, aurait été touchée par balle au cours des affrontements violents entre les forces de l'ordre et les jeunes manifestants au niveau du carrefour de Bambeto, le centre du fief de l'opposition.
La campagne présidentielle a pris un tour nouveau au Gabon avec l'annonce du retrait de deux principaux candidats d'opposition en faveur d'un troisième poids lourd. C'est donc Jean Ping qui défiera le président sortant Ali Bongo au scrutin à tour unique du 27 août.
J'ai presque ri face aux plans machiavéliques des présidents américains
Fidel Castro restera comme un dictateur