«La date du 8 juillet est un choix solitaire du Président de la CENI…» affirme Sidya Touré.
A peine rentré de Côte d’Ivoire, le Président de l’Union des Forces Républicaines (UFR), a pris part à une assemblée générale ordinaire de son parti. C’était le samedi denier au siège de l’UFR à Matam.
«L’administration guinéenne aujourd’hui est remplie d’agents du parti au pouvoir», a dit Sidya Touré. En prélude de la visite du Président de la République de la Côte d’Ivoire en Guinée, le leader de l’UFR était l’invité d’une radio libre, dans l’émission «les grandes gueules» ce mercredi, 30 novembre 2011.
«La rencontre qu’on a eue avec le Président n’était pas un dialogue, c’était une rencontre pour essayer d’ouvrir un peu les portes afin que le dialogue puisse se mettre en place.»
Le Président de la République vient de prendre un acte qui a suscité une réaction au niveau des partenaires privés de la société concernée.
Lorsque l’audience a repris dans l’après midi de ce mercredi 19 octobre au tribunal de première instance de Dixinn, les avocats de la partie civile ont demandé la comparution des «autres leaders, Cellou Dalein Diallo, Sidya Touré, Mouctar Diallo et autres instigateurs de la marche, pour rassurer le prévenu Etienne Soropogui qu’il n’était pas sous le viseur des gendarmes qui l’ont interpellé.»
L'opposition guinéenne a accusé vendredi le pouvoir de vouloir organiser "une mascarade" en ayant fixé seul avec la Commission électorale nationale indépendante (Céni) au 29 décembre la date des législatives et a appelé à manifester à compter du 27 septembre.
Le gouvernement guinéen s’est engagé à organiser les élections législatives avant la fin de l’année 2011 pour sortir le pays de la transition qui dure depuis le putsch du 23 décembre 2008.
Le 17 août 2011, Alhassane Condé, le Ministre de l’Administration du Territoire et de la Décentralisation a rencontré le Collectif des partis politiques pour la finalisation de la transition sur instruction du Président Alpha Condé.
Les démissions se succèdent au niveau de l'Union des Forces Républicaines (UFR) de Sidya Touré. En 72 heures, ce sont deux lettres de démission qui ont été enregistrées dont la dernière est intervenue ce vendredi, 24 juin 2011.
La décision de Macky Bah est "la conséquence du manque de reconnaissance" de Sidya Touré.
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Ce samedi 4 juin, Sidya Touré, président de l'Union de forces républicaines, UFR, a renoué avec ses militants au siège national du parti situé en banlieue sud de Conakry, dans la commune de Matam . Il a profité de cette prise de contact pour parler à ses militants de la position de l'UFR sur quelques actes du gouvernement du Président Alpha Condé.